Appel à la Communauté Internationale:
Arrêtez la répression en Birmanie – Myanmar
03/10/2007
- Opinión
Les Nations Unies doivent intervenir d’urgence.
Exígeons la liberté pour Aung San Suu Kyi.
Le gouvernement de la dictature militaire de Birmania – Myanmar a accentué une fois de plus sa campagne de répression et de terreur. Cela a provoqué jusqu’à présent plus de 200 morts et une grande quantité de blessés parmi lesquels se trouvent surtout des moines boudhistes qui exerçaient leur droit à l’action non violente devant les graves injustices perpétrées contre le peuple.
La dictature en agissant de façon aussi brutale est en train de mettre à feu et à sang des peuples entiers, en éliminant et censurant toutes les informations et en réprimant les réclamations légitimes de la population. Il faut rétablir dans ce pays l’Etat de Droit, la Démocratie et la Liberté.
Dans cette brutale campagne de répression, Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la Paix, supporte d’être emprisonnée dans son domicile et sa vie est toujours en danger. Cette femme fait preuve d’un grand courage dans sa résístance à la dictature. Elle est devenue pour tous un exemple de dignité en restant unie avec tout son peuple.
La communauté internationale doit enfin élever la voix et tous les pays doivent entreprendre des actions communes pour que le peuple de la Birmanie – Myanmar parvienne à récupérer le droit à la vie et à la liberté.
La solidarité internationale avec les moines et toute la population birmane est vraiment indispensable. Il faut dénoncer la barbarie et les violation des droits humains que pratique ce régime militaire. Nous réclamons la libération de Aung San Suu Kyi et de tous les prisonniers politiques.
Les Nations Unies doivent engager une action décisive pour parvenir à l’arrêt de cette répression et exiger du gouvernement la démocratisation du pays et le respect des droits du peuple.
Malheureusement, jusqu’à présent, toutes les actions entreprises et les protestations mondiales sont neutralisées par la dictature birmane, mais aussi par les intérêts économques et politiques de certains pays comme la Russie, la Chine et la France, parmi d’autres. Ces pays sont bien au courant des violations des Droits Humains commises par le régime militaire qui règne en Birmanie, et pourtant, ils le tolèrent et le soutiennent. En fair, aucun régime dictatorial ne peut se maintenir longtemps sans appuis extérieurs.
On doit exiger le retrait des ressources financières, des crédits et du soutien accordés à ce régime militaire, en particulier de la part des pays qui possèdent des investissements dans ce pays.
Hélas, le peuple de la Birmanie – Myanmar n’est pas le seul dans le monde a être opprimé. Nous disons à tous ces peuples: “L’oppression, ça suffit!”…
Je vous envoie à tous un grand “abrazo” solidaire avec beaucoup de force et d’espérance.
Exígeons la liberté pour Aung San Suu Kyi.
Le gouvernement de la dictature militaire de Birmania – Myanmar a accentué une fois de plus sa campagne de répression et de terreur. Cela a provoqué jusqu’à présent plus de 200 morts et une grande quantité de blessés parmi lesquels se trouvent surtout des moines boudhistes qui exerçaient leur droit à l’action non violente devant les graves injustices perpétrées contre le peuple.
La dictature en agissant de façon aussi brutale est en train de mettre à feu et à sang des peuples entiers, en éliminant et censurant toutes les informations et en réprimant les réclamations légitimes de la population. Il faut rétablir dans ce pays l’Etat de Droit, la Démocratie et la Liberté.
Dans cette brutale campagne de répression, Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la Paix, supporte d’être emprisonnée dans son domicile et sa vie est toujours en danger. Cette femme fait preuve d’un grand courage dans sa résístance à la dictature. Elle est devenue pour tous un exemple de dignité en restant unie avec tout son peuple.
La communauté internationale doit enfin élever la voix et tous les pays doivent entreprendre des actions communes pour que le peuple de la Birmanie – Myanmar parvienne à récupérer le droit à la vie et à la liberté.
La solidarité internationale avec les moines et toute la population birmane est vraiment indispensable. Il faut dénoncer la barbarie et les violation des droits humains que pratique ce régime militaire. Nous réclamons la libération de Aung San Suu Kyi et de tous les prisonniers politiques.
Les Nations Unies doivent engager une action décisive pour parvenir à l’arrêt de cette répression et exiger du gouvernement la démocratisation du pays et le respect des droits du peuple.
Malheureusement, jusqu’à présent, toutes les actions entreprises et les protestations mondiales sont neutralisées par la dictature birmane, mais aussi par les intérêts économques et politiques de certains pays comme la Russie, la Chine et la France, parmi d’autres. Ces pays sont bien au courant des violations des Droits Humains commises par le régime militaire qui règne en Birmanie, et pourtant, ils le tolèrent et le soutiennent. En fair, aucun régime dictatorial ne peut se maintenir longtemps sans appuis extérieurs.
On doit exiger le retrait des ressources financières, des crédits et du soutien accordés à ce régime militaire, en particulier de la part des pays qui possèdent des investissements dans ce pays.
Hélas, le peuple de la Birmanie – Myanmar n’est pas le seul dans le monde a être opprimé. Nous disons à tous ces peuples: “L’oppression, ça suffit!”…
Je vous envoie à tous un grand “abrazo” solidaire avec beaucoup de force et d’espérance.
https://www.alainet.org/fr/articulo/123566
Del mismo autor
- Adolfo Pérez Esquivel: “Parem o mundo, eu quero descer!” 06/04/2022
- “¡Paren el mundo, me quiero bajar!” 05/04/2022
- Na guerra todos perdem, não há guerras justas 18/03/2022
- La primera víctima de la guerra es la Verdad 17/03/2022
- En la guerra todos pierden, no hay guerras justas 10/03/2022
- Partió Desmond Tutu al encuentro con el Padre 28/12/2021
- El perro se muerde la cola con el FMI y la Deuda Eterna 17/12/2021
- Territorios y pueblos originarios 14/10/2021
- Diálogo 2000 y SERPAJ envían misiva al Papa Francisco 18/05/2021
- La incomunicación en los medios hegemónicos de comunicación 14/04/2021